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Book online «Dialogues by Seneca (smallest ebook reader .txt) 📕». Author Seneca



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families, Scipio and Fabius; and two others, who were still children, by his second wife, who lived in his own house. Of these, one died five days before Æmilius’s triumph, at the age of fourteen, and the other, twelve years old, died three days after it: so that there was no Roman that did not grieve for him,” etc.—⁠Plutarch, Life of Æmilius, Chapter XXXV

AUC 695, BC 59. ↩

Virgil, Aeneid, III, 418. ↩

See Mayor’s note on Juvenal I, and above, Chapter 16, §4. ↩

Lipsius points out that this idea is borrowed from the comic poet Antiphanes. See Meineke’s Comic Fragments, p. 3. ↩

This I believe to be the meaning of the text, but Koch reasonably conjectures that the true reading is editur subscriptio, “an indictment was made out against him.” See On Benefits, Book III, Chapter 26. ↩

Ruinae; Koch’s urinae is a misprint. ↩

Here a leaf or more has been lost, including the fragment cited in Lactantius, De Ira Dei, 17: “Ira est cupiditas,” etc. The entire passage is:⁠—“But the Stoics did not perceive that there is a difference between right and wrong; that there is just and unjust anger: and as they could find no remedy for it, they wished to extirpate it. The Peripatetics, on the other hand, declared that it ought not to be destroyed, but restrained. These I have sufficiently answered in the sixth book of my Institutiones. It is clear that the philosophers did not comprehend the reason of anger, from the definitions of it which Seneca has enumerated in the books ‘On Anger’ which he has written. ‘Anger,’ he says, ‘is the desire of avenging an injury.’ Others, as Posidonius says, call it ‘a desire to punish one by whom you think that you have been unjustly injured.’ Some have defined it thus: ‘Anger is an impulse of the mind to injure him who either has injured you or has sought to injure you.’ Aristotle’s definition differs but little from our own. He says, ‘that anger is a desire to repay suffering,’ ” etc. ↩

Ovid, Metamorphoses, VII, 545⁠–⁠6. ↩

τό ἡγεμονικόν of the Stoics. ↩

The gospel rule, Matt, xviii, 15. ↩

Divitis (where there might be an army of slaves). ↩

Lorsque le Preteur devoit prononcer la sentence d’un coupable, il se depouilloit de la robe pretexte, et se revètoit alors d’une simple tunique, ou d’une autre robe, presque usee, et d’un blanc sale (sordida) ou d’un gris très foncé tirant sur le noir (toga pulla), telle qu’en portoient à Rome le peuple et les pauvres (pullaque paupertas). Dans les jours solemnelles et marqués par un deuil public, les Senateurs quittoient le laticlave, et les Magistrats la pretexte. La pourpre, la hache, les faisceaux, aucun de ces signes extérieurs de leur dignité ne les distinguoient alors des autres citoyens: sine insignibus Magistratus. Mais ce n’étoit pas seulement pendant le temps ou la ville était plongée dans le deuil et dans l’affliction, que les magistrats s’habilloient comme le peuple (sordidam vestem induebant); ils en usoient de même lorsqu’ils devoient condamner à mort un citoyen. C’est dans ces tristes circonstances qu’ils quittoient la prétexte et prenoient la robe de deuil: perversam vestem.” (No doubt “inside out.” —⁠J. E. B. M.)

On pourrait supposer avec assez de vraisemblance que par cette expression, Séneque a voulu faire allusion à ce changement⁠ ⁠… Peut-être les Magistrats qui devoient juger à mort un citoyen, portoient ils aussi leur robe renversée, ou la jettoient ils de travers ou confusément sur leurs épaules, pour mieux peindre par ce desordre le trouble de leur esprit. Si cette conjecture est vraie, comme je serais assez porté à croire, l’expression perversa vestis, dont Séneque s’est servi ici, indiqueroit plus d’un simple changement d’habit,” etc. (La Grange’s translation of Seneca, edited by J. A. Naigeon. Paris, 1778.) ↩

Ceci fait allusion à une coutume que Caius Gracchus prétend avoir été pratiquée de tout tems à Rome. ‘Lorsqu’un citoyen,’ dit il, ‘avoit un procès criminel qui alloit à la mort, s’il refusoit d’obéir aux sommations qui lui étoient faites; le jour qu’on devoit le juger, en envoyoit des le matin à la porte de sa maison un Officier l’appeller au son de la trompette, et jamais avant que cette cérémonie eût été observée, les Juges ne donneroient leur voix contre lui: tant ces hommes sages,’ ajoute ce hardi Tribun, ‘avoient de retenue et de precaution dans leurs jugements, quand il s’agissoit de la vie d’un citoyen.’

C’étoit de même au son de la trompette que l’on convoquoit le peuple, lorsqu’on devoit faire mourir un citoyen, afin qu’il fût témoin de ce triste spectacle, et que la supplice du coupable pût lui servir d’exemple. Tacite dit qu’un Astrologue, nommé P. Marcius, fût exécuté, selon l’ancien usage, hors de la porte Esquiline, en presence du peuple Romain que les Consuls firent convoquer au son de la trompette. (Tacitus, Annals, II, 32.) L. Grom. ↩

I.e., not only for counsel, but for action. ↩

Prorsus parum certis. (I.e., the thunderbolts missed their aim in not striking him dead.) ↩

Vehiculorum ridicule Koch,” says Gertz, justly, “viliorum makes excellent sense.” —⁠J. E. B. M. ↩

The murder of Pompeius, BC 48. Achillas and Theodotus acted under the nominal orders of Ptolemy

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